Ce que la réforme des retraites dit du monde du travail … Et comment s’en sortir ?

Ce n’est pas souvent que je prends la plume sur des sujets politiques.  Je suis interpelée par ce que les débats, la colère, les manifestations… disent de notre rapport au travail, dans la société actuelle.

J’ai la chance d’être « mon propre patron », avec la liberté d’organiser mon temps, de choisir mes clients et mes partenaires… J’ai la chance d’aimer ce que je fais, d’y trouver sens, d’y voir une mission de vie, plus qu’un « travail »…
Tout cela est un luxe, évidemment, et ce luxe n’est malheureusement pas à la portée de tous les travailleurs.

Et c’est peut-être ça, le fond du problème, vous ne pensez pas ?

C’est quoi, le travail ?

Le mot « travail », étymologiquement, est souvent associé à du labeur, de la souffrance, de la contrainte

Depuis les douleurs de l’accouchement, jusqu’au dispositif qui contraint le cheval à rester bien sage chez le maréchal ferrant, en passant par la malédiction portée par la Chute dans la Genèse (« tu enfanteras dans la douleur et tu gagneras ton pain à la sueur de ton front »).
Bref, ce terme « Travail » n’est pas vraiment porteur d’un imaginaire de plaisir, et n’est pas perçu comme vecteur de développement personnel !

Et le repos ?

En élevant la Paresse au rang de Pécher Capital, notre civilisation a brouillé les frontières entre le repos nécessaire et la paresse. Le loisir, associé au repos, est confondu avec oisiveté, terme hautement péjoratif.

Pourtant, le repos est une nécessité biologique.

Dans l’alternance du Yin et du Yang, la nuit succède au jour et réciproquement.
Il en va de même pour le travail et le repos : ils se succèdent et s’engendrent l’un l’autre, « à parts égales ».

« Un coup Yin, un coup Yang, ainsi va la Tao ! »…

Sur le papier, les choses sont claires :

Dans le travail, rangeons le travail scolaire et l’activité professionnelle rémunérée.
Dans le repos, rangeons le temps de pause-café, de repas, de sommeil, de jeu et de loisir, les jours de repos, les congés… Et la retraite, donc.

Mais dans la réalité, tout s’embrouille et s’entremêle !

Garder ses petits-enfants, s’occuper de ses parents âgés ou de voisins, est-ce du repos ? Ou plutôt du travail, même s’il n’est pas rémunéré ?

Faire du bénévolat pour une association dont la cause nous est chère, tracter sur des marchés pour une cause qui nous parle, est-ce du repos ? Ou du travail ?

Prendre un café avec un collègue et parler d’un dossier épineux, est-ce du repos ? ou du travail ? Etc.

Le télétravail a aussi brouillé un peu plus les frontières. Certains managers n’ont toujours pas compris que leurs collaborateurs pouvaient travailler sans être au bureau.

D’autres mesures, destinées à augmenter le « Bonheur au Travail » ou la « Qualité de Vie au Travail (QVT) »  accentuent aussi ce brouillage des frontières : ajouter une table de ping-pong ou un baby-foot, aménager une salle de fitness ou de méditation sur le lieu de travail, font partie des totems, marqueurs symboliques de la démarche « QVT » et de la considération portée aux salariés.

Mais n’est-ce pas, trop souvent, un alibi pour éviter de se poser les vraies questions ?

Les vraies questions …

Ces vraies questions, quelles sont-elles ? Elles concernent :

  • Le contenu du poste,
  • La qualité du management,
  • Les conditions de travail.

Histoires vraies…

L’histoire d’Elodie

Elodie est téléopératrice dans un centre d’appel, elle traite des réclamations. Son job consiste à recevoir des coups de fil de clients mécontents toute la journée, à leur servir de punching ball tout au long de la journée, 57 minutes par heure (selon le calibrage du logiciel qui répartit les appels), à envoyer dans la nature des mails dont elle ne voit jamais le retour.

Aucun baby-foot, aucune table de ping-pong ne compenseront le désintérêt, voire la souffrance liée au contenu du job d’Elodie et à l’organisation hyper rigide de ce travail.

Qui supporterait de se faire hurler dessus, 57 minutes par heure, pendant 35h par semaine ? Sans possibilité de souffler, de se lever de sa chaise pour aller respirer à la fenêtre ?

Si, en complément, son manager de proximité est toxique, ne la soutient pas, lui dit que « ses problèmes perso, elle est priée de les laisser à la porte de l’entreprise », la coince contre la photocopie en lui faisant des (soi-disant) compliments sur sa tenue (supposément) sexy, si le planning est verrouillé 3 jours seulement à l’avance, sans possibilité de le modifier (ben oui : bouger un planning au dernier moment, c’est impossible ! Mais pourquoi est-ce au dernier moment ?), alors oui, le travail est une souffrance. Et la perspective d’en prendre pour 2 ans de plus est difficile à avaler.

L’histoire d’Annabelle

Annabelle est jeune consultante. Son manager fait tout au dernier moment, c’est son mode de fonctionnement, c’est comme ça, ça lui convient bien. A lui. Un dimanche, il appelle Annabelle sur son smartphone alors qu’elle est en randonnée dans une zone montagneuse, pour boucler la préparation d’une réunion de Comité de Direction qui a lieu le lundi (le lendemain, donc) à la première heure. Pourtant Annabelle l’avait relancé, prévenu, alerté… Rien n’y avait fait. Pendant 3 ans, à son entretien d’appréciation annuelle, il lui ressort le même reproche : « tu n’es pas assez disponible … ».

L’histoire de Jeanne

Jeanne est vendeuse dans une boutique de vêtements. Elle est payée pour 30 heures, mais en fait 35 par semaine. Le surplus est à récupérer sous forme de RTT, dont elle ne peut choisir les dates, et qui se retrouvent toujours planifiées en période creuse, hors période de vacances scolaires. Or Jeanne a trois enfants en âge scolaire…

Toutes ces histoires sont réelles. Mes clients m’en racontent bien d’autres, du même acabit.

« Prendre un job alimentaire, en attendant mieux… »

Je ne compte plus, en consultation BaZi, les personnes qui occupent des jobs alimentaires pour payer leurs factures, et aspirent à « autre chose », un « autre chose » qu’ils me demandent de les aider à préciser… Mais qu’ils peinent à concrétiser, tant les jobs « alimentaires » les épuisent et les laissent le soir vidés de leur substance, de leur vitalité.

Je trouve dramatique ces trésors d’intelligence, de créativité, d’imagination, d’intuition,  laissés en friche parce que les entreprises ne savent ni les identifier, ni les valoriser dans un jeu gagnant-gagnant pour l’entreprise et le salarié.

Et pourtant…

Eloge du Travail

Travailler, si cela est pensé comme le fait d’exercer un métier, c’est occuper une place dans la société. C’est s’insérer dans un collectif. C’est être utile, occuper un ou plusieurs rôles dans la « tribu ».

Comme la pièce du puzzle qui s’insère dans une image globale : lorsqu’une pièce manque, c’est tout l’ensemble qui est bancal.


Exercer un métier, cela demande une forme d’expertise, de compétence, de technicité, acquise par la théorie et/ou la pratique. Un métier suppose un ensemble complet et complexe d’expertises, acquise aussi par la pratique, qui concourent à une mission.
Une mission, cela peut aussi être une mission de vie, ce que les chinois appellent « mandat céleste ».

On me renvoie souvent à l’idée que, « de nos jours, les jeunes ne veulent plus travailler mais ils veulent juste devenir riches » (on ne sait pas trop comment ils comptent s’y prendre, et d’ailleurs, des fois, on préfère ne pas savoir). On parle de « grande démission », avec l’idée que ces jeunes sont fainéants (et oui, la paresse est mère de tous les vices, dit le dicton populaire !).

Peut-être les entreprises devraient-elles prendre le problème sous un autre angle….

Comment rendre le travail désirable, épanouissant ?

C’est bien un sujet pour les entreprises (et aussi les syndicats), et pas seulement pour les pouvoirs publics. Cela passera par une réflexion sur le contenu du travail, et sur le contexte dans lequel il s’exerce.

Par contexte, je ne parle pas seulement du cadre physique du travail. Bien sûr, de jolis locaux, une plante verte, un baby-foot, cela fait toujours du bien. Mais cela reste anecdotique, à coté du management (en particulier du management de proximité) et des conditions de travail… Même si cela me fait mal de le reconnaître, moi qui suis aussi architecte d’intérieur holistique !

Alors comment résoudre cette équation ?

Certains auteurs relient l’étymologie du mot « Travail » au verbe « to travel », voyager en anglais… Voilà qui induit une vision nettement plus réjouissante, et une piste à creuser !

Travailler, rêvons un peu, pourrait s’assimiler à voyager sur son chemin de vie !

Ce chemin de vie, il appartient à chacun d’en trouver la clé. Sans attendre que le DRH ne la lui donne. Car l’enjeu du DRH, c’est avant tout de pourvoir des postes, lesquels sont imbriqués les uns avec les autres. L’épanouissement de chaque individu, c’est bien mais ça n’est pas forcément son enjeu principal, à lui.

Métaphoriquement, l’entreprise est comparable à ceci :

plus qu’à ceci : un organisme vivant où tout est connecté de façon systémique.

Ce n’est pas les retraites qu’il faut réformer, mais le travail…

Et la façon de le penser, de l’organiser dans l’entreprise.

La gestion des carrières, c’est tisser ensemble des voyages individuels avec la destinée d’un collectif, d’une entreprise !

Pas facile à réussir, mais pour cela il faudrait peut-être commencer par accompagner le mouvement vital, et non à vouloir figer un mouvement irrépressible  !

Si vous mettez en cage un être vivant, avec des forces de vie colossales, soit il se rebelle et se révolte, soit il s’éteint et s’étiole.

C’est la situation dans de nombreuses entreprises aujourd’hui.

Analysons la problématique à l’aide des « Cinq éléments » :

Cette « théorie des Cinq éléments » est d’une richesse infinie, elle peut nous aider à comprendre des problématiques très diverses. Dont celle-ci.

Dans la situation actuelle de l’organisation du travail, dans le fonctionnement des entreprises, à mon avis,

il y a trop de Terre et de Métal,

et pas assez de Bois et de Feu.

Développons.

Trop de Terre :

Trop de Terre, c’est trop de process, trop de définitions de fonctions et de fiches de poste !
On essaie de faire entrer des humains, avec toute leur individualité, leur potentiel unique, dans des cases standardisées. On s’emploie à définir des processus dans le cadre de démarches qualité.
Cela rigidifie et standardise forcément le fonctionnement. Cela sclérose le vivant…, casse la dynamique.
La Terre est associée à la nostalgie, à la rumination, aux rancœurs cuites et recuites… Des émotions pas vraiment porteuses pour l’entreprise, ni pour le salarié.

Trop de Métal :

Se focaliser sur l’efficacité, la multiplication des contrôles, des audits, des tableaux de chiffres à remplir, du reporting, tout cela se rattache au Métal.
La politique du chiffre, la Direction par Objectifs (chiffrés et individuels), c’est encore du Métal.
La rationalisation, la recherche d’économies, c’est toujours du Métal. Au bout d’un moment, il n’y a plus aucune marge de manœuvre, plus de jeu, au sens mécanique du terme : le système se grippe et ne tourne plus !

Le Métal est froid, rationnel, raisonnable à l’excès.
Quand on sait que le Métal est associé à la Tristesse, ne nous étonnons pas que les travailleurs n’aient pas très envie de rester deux ans de plus…

Pas assez de Bois :

Le Bois c’est le jeu, justement : le jeu mécanique, mais aussi le côté ludique, fantaisiste, du fonctionnement.
Le Bois c’est aussi les émotions. Ont-elles vraiment leur place, dans le fonctionnement des entreprises ? Sérieusement, j’en doute.
Le Bois, c’est la flexibilité : cette souplesse qui est laissée aux gens pour s’organiser (aussi dans la gestion des horaires : c’est la question de l’articulation vie personnelle / vie professionnelle, au quotidien et en cas d’imprévu). La flexibilité imposée par l’entreprise, à sens unique, ça n’est pas du Bois : ça reste du Métal, froid et rationnel, stratégique.

Le Bois c’est la bienveillance. Entendre les émotions des travailleurs, tenter de leur rendre la vie plus facile lorsqu’ils rencontrent des difficultés, des contraintes, cela en fait partie.
Le Bois c’est la créativité, les idées, l’innovation, c’est laisser du champ pour les expérimentations et les propositions des individus.

« Mais, l’agilité c’est ce qu’on cherche à obtenir, justement ! ».

L’agilité est certes réclamée à cor et à cri par les directions d’entreprise, mais c’est une agilité, une innovation, une créativité, sur commande, sous contrôle, « presse-bouton ».

« Prenez des initiatives, bon sang ! Mais surtout parlez-m ’en avant !»

Voilà une phrase que j’ai entendue lorsque j’étais consultante, adressée par un dirigeant d’entreprise à un collaborateur. Voilà une belle injonction paradoxale !

Pour qu’il y ait agilité, il faut qu’il y ait de la confiance et de la bienveillance, de part et d’autre.
L’agilité, le Bois appelé de leurs vœux par les entreprises, reste soumis à l’injonction de la Terre et du Métal. On demande des initiatives et de l’agilité rentables, efficaces, constructives, mais qui surtout ne remettent pas en cause l’ordre établi.

Or, le Bois ameublit la Terre : il y a toujours le risque que les idées, la créativité, perturbent l’ordre établi. Et le Métal « coupe », structure, inhibe le Bois : vouloir soumettre les idées trop tôt à un impératif de rigueur et de rentabilité, cela ne peut pas fonctionner car la créativité s’en trouvera stérilisée.

Le Bois c’est l’humanité. Le Bois c’est la vie, tout simplement…

Mettre du Bois dans le fonctionnement des entreprises, c’est rendre l’entreprise vivante, comme un réseau de neurones.
Ce n’est pas en ajoutant un potager, une ruche et des plantes vertes que ça va être possible ; c’est en écartant tout ce qui est contraire aux forces de vie, à commencer par les modes de management toxiques.

Pas assez de Feu :

Il n’y a pas non plus assez de Feu dans le fonctionnement des Entreprises.

Le Feu c’est la Vision : quelle vision d’avenir ? Quel est le projet porté par l’entreprise ? Sa mission est-elle cohérente avec un futur désirable pour les travailleurs, qui sont aussi des citoyens ? Ce projet répond-il aux urgences, aux priorités de la société ?

Réellement, c’est-à-dire au-delà des effets de communication, du fake, du storytelling et de propos tirés par les cheveux ?

Le Feu c’est la visibilité : donner aux collaborateurs une vision claire de l’organisation à moyen terme, sans recours au «management par le chaos», sensé assouplir les mentalités (véridique…).

Pour que les collaborateurs acceptent l’incertitude là où elle est inévitable, il semble logique de les sécuriser là où c’est possible, afin de faciliter leur organisation personnelle (au niveau des horaires, typiquement).

Le Feu c’est le Sens : l’organisation du travail permet-elle aux collaborateurs de percevoir à quoi sert leur action ? Quelle est leur valeur ajoutée, leur contribution ? Donner à chacun l’occasion d’être en contact avec des clients, avec le produit, responsabiliser sur des missions au lieu de focaliser sur des tâches précises et répétitives, cela passe par là.

Souvent, au départ, les collaborateurs cherchent juste à « bien faire leur travail » : satisfaire le client par exemple. Ils ne comprennent pas que des systèmes soient mis en place qui entravent leur désir de bien faire,  surtout si la finalité de  ces systèmes est de  nature Terre ou Métal.
Le Feu c’est la joie : pas forcément besoin d’afterwork, de challenge boules ou baby-foot… Mais simplement, comment donner à la joie droit de cité dans l’entreprise ?
Le Feu c’est la clairvoyance, la lucidité : rien de plus déprimant que de maintenir des objectifs irréalistes, à coup de «quand on veut, on peut ! C’est une question d’organisation !»
Le Feu, enfin, c’est aussi la spiritualité : voilà, j’ai lâché le gros mot ! Vous pouvez l’appeler Philosophie si vous préférez. Vous pouvez allez voir du côté des « Peuples Premiers » comment ils prennent des décisions, comment ils gèrent les conflits, comment ils intègrent les nouveaux venus, comment ils choisissent leurs chefs et répartissent les rôles… C’est peut-être une façon de faire plus acceptable que ce terme de spiritualité.

Ce que je mets derrière ce terme de spiritualité ?

Pour moi, la spiritualité, c’est l’adéquation à notre « mandat céleste ».

Ce que cherche le travailleur, c’est avant tout à réaliser son potentiel. À exprimer toutes ses capacités, à trouver sa place, assumer sa mission de vie, ce qu’il est venu faire sur cette terre.

Vouloir mettre tout le monde dans le même moule,
voilà le péché originel du système scolaire et du système économique !

Certains sont créatifs, flexibles, innovants. D’autres pas.
Certains sont intuitifs, sensibles, émotifs. D’autres pas.
Certains sont rigoureux et ont le sens des chiffres. D’autres pas.
Certains savent mener à bien des projets concrets. D’autres pas.
Certains ont une vision long terme.  D’autres pas.
Certains irradient et crèvent l’écran, d’autres sont mal à l’aise lorsqu’on les met en avant.
Certains sont doués d’un leadership naturel. D’autres pas…

Reconnaître et assumer son unicité demande une vie.
Trop souvent, le travail (salarié en particulier), entrave cette évolution personnelle.

Pourtant, la pensée traditionnelle chinoise offre à chacun, avec les Bazi, un outil efficace pour mieux comprendre son potentiel.

Alors, on y travaille, à rendre le travail vivant et humain ?

Plus de Bois et plus de Feu, ça tombe bien…Ce sont les énergies portées par les années qui viennent. C’est tout un système qui doit se réinventer.

Il ne s’agira pas de mettre des plantes vertes, de peindre un mur en vert et un autre en rouge. Le Bois et le Feu rentreront pas les comportements, les postures, les attitudes, depuis le Top management jusqu’au managers intermédiaires.

Alors, on s’y met vraiment, à inventer l’Entreprise Humaine et Bienveillante ? A remettre le Travail en accord avec la Vie, avec le Vivant au sens large ?

Et vous, vous allez vous y prendre comment, pour rendre votre travail plus cohérent avec votre mandat céleste ?

 

PS : je n’ai pas cité l’Eau, mouvement de communication, de circulation d’informations, mais aussi d’écoute, sa contribution est ambiguë et différente selon les cas.
Certaines entreprises manquent d’écoute. Les salariés se plaignent du manque de communication, à mon sens cela concerne plus le manque de visibilité à moyen terme, liée au « Feu » que l’Eau à proprement parler.
Dans certains cas, l’augmentation exponentielle des informations disponibles ou à traiter fait partie de la complexification du travail.

COMMENTAIRES

  • 18 février 2023
    répondre

    Alibert Dominique

    Excellente compréhension de notre système de vie actuel merci à pour cette analyse Isabelle car cela fait réfléchir

  • 8 octobre 2023
    répondre

    Nathalie Gehrold

    Article passionnant !
    Merci beaucoup Isabelle. Je bois vos paroles et je trouve votre analyse totalement pertinante et merveilleusement inspirante.
    Gratitudes !
    Nathalie Gehrold
    Coach en Désencombrement Conscient

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