On entend parfois des affirmations comme :
« le feng Shui c’est pour les chinois, et la géobiologie c’est pour les occidentaux »
« avant de faire du Feng Shui il faut toujours faire passer un géobiologue »
Ces affirmations erronées reposent sur des malentendus.
Le Feng Shui, comme la géobiologie, reposent sur des lois énergétiques universelles. On les a enrobé d’un décorum culturel qui n’est en rien nécessaire.
L’idée que la géobiologie est nécessairement un préalable à la géobiologie repose sur l’idée que le Feng Shui fait circuler un flux d’énergie (Qi) qui doit d’abord être nettoyé, purifié. Mais on ne parle pas forcément de la même nature de Qi…
En réalité, Feng Shui et géobiologie sont complémentaires, et non concurrents.
Dans le feng Shui traditionnel, on retrouve d’ailleurs des lois proches de celle de la géobiologie :
- la qualité du terrain et l’absence de perturbations telluriques trouve pleinement sa cohérence avec la qualité du Serpent, qui fait partie des Animaux emblématiques
- la pollution électromagnétique s’inscrit comme un « Sha qi » et d’un excès de yang
- les pollutions spirituelles (entités, mémoires…) sont pleinement intégrées aux traditions chinoises.
Le placement du lit devrait dans l’idéal intégrer les principes du Feng Shui (adossé à un mur, dans un bon secteur, dans une bonne direction, pas entre une porte et une fenêtre…) et ceux de la géobiologie (éviter les perturbations telluriques, limiter les pollutions électromagnétiques…)
Lorsqu’on ne peut pas tout faire, comment arbitrer ?
Lorsqu’il y a des problématiques de santé, de fatigue générale ou de sommeil, la géobiologie et le Feng Shui sont tous les deux utiles.
Lorsque la problématique porte sur l’accomplissement de soi, les projets, la prospérité, j’estime que le Feng Shui est la meilleure clé.
Mais lorsque des manifestations physiques se produisent (nausée, oppression, mal dans les reins …) se produisent, c’est souvent la géobiologie qui est la première clé.